Après Sandégué, une institutrice de 36 ans violée par un gamin de 15 ans à Minignan





apres-sandegue-une-institutrice-de-36-ans-violee-par-un-gamin-de-15-ans-a-minignan


Après le viol perpétré par un certain Kouassi Pacôme, sur une institutrice à Sandégué dans la nuit du mercredi 6 au jeudi 7 octobre 2021, l’on apprend qu’une autre enseignante du primaire vient de subir le même sort que sa consœur à Minignan (nord).

Selon le confrère linfodrome, c’est le 15 novembre, jour de la célébration de la journée nationale de la paix que dame SK, 36 ans, institutrice à l’EPP Tiefinzo (Minignan) a été contrainte de se laisser posséder par un gamin de 15 ans.

A lire aussi: Viol d’une institutrice à Sandégué : le gouvernement suit avec la plus grande attention, la situation

Les faits. Le confrère, citant ses sources fait savoir que ce jour-là, l’institutrice était paisiblement dans sa chambre aux environs de 14 heures quand le nommé, Bangaly Karim y a fait irruption. Muni d’un couteau et se faisant très menaçant, il intime l’ordre à l’enseignante de se déshabiller. Sans défense et sous la menace, la dame s’exécute. Désormais maitre des lieux, Bangali va posséder la dame qui du reste a certainement sinon plus que l’âge de sa mère.

Une fois sa libido satisfaite, il tente de prendre ses jambes à son cou. Meurtrie et souillée dans son corps, dame SK réunit ses dernières forces pour appeler au secours.

De bonnes volonté se lancent aux trousses du violeur qui certainement épuisé par les coups de boutoirs a été vite rattrapé et conduit au poste de gendarmerie dudit village.

Il a été mis à la disposition de la Gendarmerie de Samatiguila pour enquête, sur instructions du substitut résident.  

Quant à l’institutrice, toujours selon le confrère, des dispositions ont été prises par le directeur de son école pour sa prise en charge médicale.

Dans la nuit du 6 au 7 octobre, une institutrice a été violée à Sandégué. Cet acte a été condamné par les enseignants, le Conseil National des Droits de L'Homme CNDH et plusieurs autres organisations féminines.

La ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation, Mariatou Koné est également monté au créneau pour dénoncer cet acte ignoble et souhaité que l’auteur subisse la rigueur de la loi.

L’enquête entreprise par la Gendarmerie nationale a permis d’interpeller le dimanche 17 Octobre Kouassi Pacôme, Ivoirien, le présumé coupable.

Lambert KOUAME

Partarger cet article

En lecture en ce moment

Dougroupalégnoa ( Gagnoa) : les protagonistes entre crainte et désir de paix

Prévention de crise : un concours littéraire pour « Penser la Côte d’Ivoire en 2020 »