Côte d’Ivoire / Mobile money : L’UNETEL annonce la suspension des tarifs appliquées depuis le 25 février





cote-divoire-mobile-money-lunetel-annonce-la-suspension-des-tarifs-appliquees-depuis-le-25-fevrier


L’Union nationale des entreprises de télécommunication en Côte d’Ivoire ( UNETEL) a annoncé, ce jeudi, dans un communiqué, la suspension des tarifs Mobile money appliquées depuis le 25 février dernier.
"L’Union nationale des entreprises de télécommunication en Côte d’Ivoire a le plaisir de vous annoncer la suspension des tarifs des transactions de mobile money, en vigueur depuis le 25 février 2019", peut-on lire dans ce communiqué.
 

A lire également : Côte d’Ivoire / Tarifs mobile money : L’ARTCI exige l’arrêt immédiat de la mesure d’augmentation

Le document signé de la direction exécutive de l’UNETEL précise : "Cette décision intervient suite aux échanges entre les opérateurs de télécommunications, les principaux acteurs du mobile money à savoir Orange money Côte d’Ivoire, MTN Mobile financial services et Moov money Côte d’Ivoire avec respectivement monsieur le ministre de l’Economie numérique et de la Poste et monsieur le Secrétaire d'Etat en charge du Budget et du Portefeuille de l'Etat ". Les échanges entre les deux parties ont porté, selon cette même source, "sur la mise en place d'un groupe de travail afin d'adresser dans les meilleurs délais les préoccupations des différentes parties prenantes".
La décision de suspension des tarifs des transactions Mobile money entrée en vigueur le 25 février 2019, a pris effet ce jeudi.
Les opérateurs de Mobile money avait ajusté leurs tarifs suite à l’introduction d’une nouvelle taxe contenu dans l’article 14 de l’annexe fiscale 2019 et qui imposait aux entreprises émettrices de monnaie électronique le paiement d’un montant cumulé de 7,2 % sur le montant des commissions payées.

Modeste KONE

Partarger cet article

En lecture en ce moment

Covid-19 : le point de la situation du vendredi 18 septembre 2020

Affaire "Des agents des forces de l'ordre encadrent les microbes": La police explique tout