Présentation du livre d’Hanny Tchelley : Mme Simone Gbagbo et Blé Goudé en soutien à l’auteur





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Hanny Tchelley entourée de quelques invités



Le 3è café littéraire de la maison d’édition « Gad » s’est déroulé le mercredi 17 mai 2023 à Seen Hôtel d’Abidjan-Plateau autour du livre "Et si c’était à refaire"  d’Hanny Tchelley.

En présence de la marraine littéraire, Mme Simone Ehivet Gbagbo, présidente du Mouvement des générations capables (MGC), du président du Congrès panafricain pour la justice et l’égalité des peuples (Cojep), Charles Blé Goudé, Mme Geneviève Bro Grébé et de plusieurs férus du livre, l’auteur a détaillé les motivations qui ont conduit à l’écriture de cette œuvre de 290 pages.

« Et si c´était à refaire .. » n’est pas une fiction. "C’est une sorte de journal intime où j’ai écrit ce que je ressentais tous les jours, pendant ces 10 ans d’exil forcé, sous la pression. Surtout que dans les premiers moments, j’avais perdu l’usage de la parole. C’était ma manière de communiquer", a expliqué d’entrée de jeu Hanny Tchelley.

Selon le journaliste Michel Koffi qui a assuré la modération de ce café littéraire, ce livre peut être subdivisé en trois temps forts que sont, le départ pour l’exil, l’engagement et le retour.

Le public a été transporté dans ce voyage Abidjan-Bruxelles-Abidjan, à travers des extraits lus par des invités coptés pour la circonstance. Chacun, allant de son intonation, du timbre de sa voix et de l’émotion contenue dans sa voix, a pu faire vivre ces instants de vie décrits par la nouvelle écrivaine dans ce livre.

Hanny a profité de cette tribune pour réitérer son engagement et son amour pour Simone Gbagbo qu’elle appelle affectueusement « Ma star ». Cette dernière a dit que ce livre lui a permis de se replonger dans ce passé récent.

« J’ai retrouvé une Hanny très directe et franche, comme à son habitude. Je salue le fait qu’elle ne soit pas restée dans la rancune », a affirmé Simone Ehivet Gbagbo qui a ajouté que le livre devient une source d’histoire pour la Côte d’Ivoire.

L'auteure n'a pas manqué d'exprimer le besoin de prendre un nouveau départ en réactivant sa vie d’actrice, de productrice et réalisatrice. Elle entend également relancer le Festival du court-métrage (FICA) d'Abidjan.

Solange ARALAMON

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