Désinformation et manipulation de l’information : les élèves du Centre technique des arts appliqués de Bingerville sensibilisés





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Le président de Cocobulles a invité les élèves du CTAA a faire attention aux informations qu'ils diffusent sur les réseaux sociaux



Une séance d’information et de sensibilisation a été organisée le vendredi 22 novembre 2024 à la Médiathèque de Treichville, à l’attention des élèves du Centre technique des arts appliqués (CTAA) de Bingerville.

Cette initiative qui s’inscrit dans le cadre de l’édition 2024 de Cocobulles Academy a été une belle occasion pour l’équipe de Cocobulles avec à sa tête Lassane Zohoré, par ailleurs directeur de publication des hebdomadaires Gbich! et Allo Police pour sensibiliser et former les apprenants sur  l’importance de faire attention aux informations qu’ils reçoivent. Ce qui leur permettra de faire la différence entre les rumeurs ou fake news  et l’information vraie.

C’est autour du thème : « Stop Fake news, élections apaisées, OK ! » que  le conférencier du jour, Willy Zekid, expert en dessin, a invité les étudiants à « combattre la désinformation et la manipulation. Pour lui,  l’un des problèmes majeurs auxquels la jeunesse est confrontée reste sa participation citoyenne, ainsi que les fausses rumeurs et la désinformation. Il a présenté  la différence entre les informations qui passent sur les réseaux sociaux et les médias dédiés au traitement vrai de l’information. Il a invité les participants à toujours vérifier les informations avant de les partager.

« Comment vaincre les Fake news par le dessin ? » « Comment annihiler la fausse rumeur pour s’approprier les vertus de la bonne information ? », sont les autres problématiques abordées au cours de cette rencontre.

Le directeur du CTAA,  Ali Djaniklo,  a expliqué que c’est une nouvelle page qui s’écrit pour ses élèves. « Je remercie l’équipe de Zohoré Lassane qui fait tout pour permettre à la population d’avoir accès à la bonne information. Les élèves doivent comprendre que la voie du dessin qu’ils ont choisie n’est pas une perte. Le dessin, c’est la matière de l’art », a-t-il ajouté.

Solange ARALAMON



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