Le Réseau des acteurs des médias pour les droits des enfants (RAMEDE-CI), fortement engagé pour les droits des enfants, vient de lancer deux prix à l’attention des journalistes. Il s’agit du prix RAMEDE-CI pour la lutte contre l’orpaillage clandestin impliquant des enfants et du prix RAMEDE-CI pour la lutte contre les violences faites aux enfants.
Ce lancement a eu lieu, vendredi, au siège du réseau, à Abidjan, en présence de la faîtière des organisations de presse ivoirienne, l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) représenté Laurent Okoué, et le Forum des directeurs de publication de Côte d’Ivoire, représenté par Michel Beta.
Un jour symbolique, car ce lancement intervient deux jours après la date du 20 novembre qui marque la commémoration de la Journée internationale de l’enfant. Et, la vice-présidente du RAMEDE-CI, Michel Mambo, n’a pas marqué de le signifier. Elle a par ailleurs salué le gouvernement d’avoir durci le ton face aux violences faites aux enfants. Ces deux prix viennent s’ajouter au prix RAMEDE-CI – CNS pour la lutte contre le travail des enfants portant le nom de la Première dame, portant ainsi à trois les prix de ce réseau de communicateurs. Elle a précisé que le prix RAMEDE-CI pour la lutte contre l’orpaillage clandestin impliquant des enfants concerne exclusivement les correspondants de presse à l’intérieur du pays.
Laurent Okoué et Béta Michel ont salué le RAMEDE-CI pour ses actions en faveur des droits des enfants. Tout en reconnaissant que les lignes bougent au niveau de la presse.
L’UNJCI, particulièrement, s’est félicité qu’il y ait de plus en plus de prix thématiques. C’est donc à juste titre que Laurent Okoué a rassuré le RAMEDE-CI quant à sa disponibilité.
Beta Michel a souhaité qu’il y a ait de nombreuses productions, mais surtout de qualité.

Modeste KONE