Gestion de l'université Félix Houphouët Boigny : Voici les secrets du Professeur Abou Karamoko pour maintenir l'accalmie et la cohésion





gestion-de-luniversite-felix-houphouet-boigny-voici-les-secrets-du-professeur-abou-karamoko-pour-maintenir-laccalmie-et-la-cohesion


 "Quelle Université Félix Houphouët Boigny?", "Quel rapport entre syndicats et administration?": tel est le thème traité  par le Pr Abou Karamoko,  président de l'université Félix Houphouët Boigny de Cocody, invité  du press club de l'union nationale des journalistes de Côte d'Ivoire (UNJCI) ce mardi 7 juillet à la maison de la presse au Plateau.
Dans son exposé, le conférencier a donné les secrets qui lui permettent aujourd'hui d'avoir de l'accalmie au sein de l'université.
"Mon secret, cest me dialogue et le travail. Je suis toujours à l'écoute des syndicats du personnel, des enseignants mais aussi des étudiants. Ma porte est toujours ouverte et mon numéro de téléphone est accessible à tout moment. Je reçois tous ceux qui veulent me  rencontrer pour parler de notre université", à til expliqué. 
Il dit donc ne pas comprendre les mouvements de grève lancés par les syndicats d'enseignants et de la fédération estudiantine et scolaire de Côte  d'Ivoire (Fesci) alors qu'ils sont cknsgaemment informés  avant l'application des différentes mesures au sej  de l'université Félix Houphouët Boigny de Cocody. 
Avant cela, le professeur Abou Karamoko  a présenté l'établissement qui dirige depuis juillet 2016,  avant de faire l'état des lieux avant et en cette période de pandémie du coronavirus. Selo  lui  il y a eu des acquis importants et des   avancées considérables tant au niveau de la formation de la recherche scientifique.
A cet effet, il a affirmé que les chercheurs ivoiriens ont mis en place, dans le cadre de la lutte contre la propagation de la Covid 19, une solution hydroalcollique naturelle et sont en train d'expérimenter  plusieurs autres  choses. 
Le premier responsable de l'université Félix Houphouët Boigny de Cocody  s'est prêté aux différentes questions des journalistes, notamment concernant la situation des étudiants non inscrits et refoulés  en 2018, des nouveaux bacheliers, de l'école doctorale, etc. Sans fauxcfuyants, il a répondu aux différentes préoccupations, avant d'avancer qu'il reste disponible pour un partenariat avec l'UNJCI. 
Un boulet saisi au bond par Jean Claude Coulibaly, le président de l'union qui a annoncé la signature prochaine dune convention avec l'université, a travers le Cercom, en faveur des journalistes ivoiriens.
Solange ARALAMON 

En lecture en ce moment

Prix Cedeao du meilleur journaliste pour l’environnement : Le sénégalais N’Diol Mactar Seck lauréat de l’édition 2018

Prikro : la 2e édition d’un festival de valorisation de la culture Anoh prévue du 21 au 23 décembre