Festival Mondial de Musique Femmes d’Ici et d’Ailleurs : Une "édition Export" pour évaluer le savoir être et le savoir-faire des artistes





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Créer un vecteur de transmission de cultures entre les femmes artistes de diverses sensibilités et d’origines différentes du monde musicale,  valoriser les talents féminins  et révéler  leurs potentialités artistiques et évaluer leur savoir être et leur savoir-faire, tels sont les objectifs de "l’édition Export" du festival Mondial de Musique Femmes d’Ici et d’Ailleurs qui aura lieu à Abidjan du 23 au 25 avril 2021.

Placée sous le thème "Intégration Culturelle par les Arts de Scènes, Nécessité ou Non", l’édition d’Abidjan servira, selon les organisateurs,  de source pour raviser et redynamiser l’amitié séculaire qui lie les peuples d’Afrique et du Monde à celui de la Côte d’Ivoire, qui date déjà de la nuit des temps reliée par l’histoire, surtout en cette période de la Covid-19, où la mobilité Artistique est en souffrance totale.

"Ce sera donc une occasion d’échanger davantage sur les collaborations culturelles, de favoriser le dialogue interculturel, d’activer et d’encourager le tourisme culturel et d’apporter notre modeste contribution au développement de l’économie créative de ce beau pays avec la participation de plusieurs artistes musiciennes de divers horizons", explique le document de présentation qui nous été soumis.

Entre autres activités de cette "édition Export", il est prévu des discussions Be to Be, la découvertes des Voix d’ailleurs et les Concerts live avec des artistes telles que Vivi Makado, Awehi, Yie Juku, Chantre Sandy et Ayedissa (Côte d’Ivoire), Marbel Fa, Estelle Mveng, Isis Kingue (Cameroun), Naxx, Veeby Afrossoul, Debbie Ethier, Sara Micheline (Canada), Sira Conde, Mbalou Kante(Guinée Conakry), Maria Siga, Coumbis Sorra (Sénégal) ; Ife (Nigeria), etc.

Elles mettront en valeur aussi bien les couleurs locales que celles venues d’ailleurs, sans oublier l’ambiance festives et la coproduction pour des ambitions ultérieures.

En somme il s’agira de donner de la dimension à la source musicale d’inspiration Africaine qui devient de plus en plus confrontée à la machine infernale du monde occidentale malgré toute sa richesse incontestable.

Solange ARALAMON

 

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