Stanislas Zézé lors de la séance de dédicace officielle de son livre
Il a retracé, à travers ce livre autobiographique, son parcours, fait de défis et de challenges qu’il a toujours su relever en franchissant les différentes « frontières ». Autant d’épreuves qui ont contribué à faire de lui, le « champion de la finance internationale » qu’est devenu celui qui se fait appeler Stan Zézé.
"L’homme aux chaussettes rouges" est selon lui, un prétexte pour se rapprocher davantage de la jeunesse ivoirienne qui se reconnaît en lui. Tant dans la vie physique et dans la réalité virtuelle, à travers les réseaux sociaux. Pour lui, la jeunesse ivoirienne et même africaine doit changer de mentalité et comprendre que ce continent ne peut se développer qu’avec son apport. Ce qui passe par un changement de mentalité.
« Pendant longtemps, l’Afrique a été méprisée et reléguée au second plan. Je pense qu’aujourd’hui, il est important que les africains se rendent comptent que pour relever l’Afrique, il est important qu’ils travaillent ensemble. Il est important qu’il y ait cette cohésion, cette unité africaine et que toutes les frontières, qu’elles soient matérielles où immatérielles tombent de sorte que les africains bâtissent l’Afrique. Personne ne viendra bâtir l’Afrique à notre place. Le développement de l’Afrique, c’est la responsabilité des africains et des africains seuls », a-t-il déclaré.
Coécrite avec l’écrivain et homme de culture Pacôme Kipré, "l'homme aux chaussettes rouges" a été rédigé sur un style vif et décontracté avec des photos en illustration
Stanislas Zézé, 53 ans, marié à Jeanne Sissoko-Zézé et père de 2 filles est le prototype de l’homme d’affaires accompli, notamment avec son entreprise de cotation financière « Bloomfield Investment Corporation »
Solange ARALAMON
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