les lauréats de l'étape de la région du N'Zi en compagnie des organisateurs du concours de littérature
La salle de réunion de l'Inspection du l'enseignement primaire de Dimbokro, dans la région du N'Zi a servi de cadre au lancement du Concours national de littérature, le mercredi 05 mars 2025, selon un communiqué dont pressecotedivoire.ci a reçu copie.
Sous la supervision de la direction régionale de l'éducation nationale et de l'alphabétisation (DRENA) du N'Zi, en présence des initiateurs (les écrivains Aline-Maguy Koffi et Philippe Demanois), cette activité culturelle et pédagogique s’inscrit dans le cadre du Concours national de lecture et de promotion du livre en milieu scolaire. Elle vise à motiver les élèves à faire de la lecture et de la recherche documentaire des leviers de leur réussite.
Philippe Demanois, co-initiateur de l’événement, le directeur régional de l'éducation nationale et de l'alphabétisation (DRENA) du N'Zi, Gningneri Coulibaly, et les représentants du District et du Conseil Régional, Mme Assana Bakayoko et M. Fernand Dindé, ont rappelé, chacun à son tour, l'importance du français dans le processus globale des apprentissages scolaires et l'intérêt que les élèves ont à posséder cette discipline.
Quatre épreuves ont ensuite opposé les concurrents issus de quatre établissements secondaires à savoir le Lycée moderne 1, le Collège moderne Abigui, le Collège catholique et le Collège Le Challenge.
Après la compétition, c'est le Lycée Moderne 1 de Dimbokro qui a raflé la mise en se classant premier, se qualifiant ainsi pour la finale dans les disciplines imposées, suivi du collège Moderne Abigui et du Collège Catholique. Les officiels ont apprécié le déroulement du concours.La cérémonie a pris fin avec la dédicace des œuvres de Aline Maguy Koffi.
Après Dimbokro, la ville de Bocanda a pris le relais le mercredi 12 Mars 2025, avec les éliminatoires régionales qui ont enregistré le même succès. La finale régionale du concours est prévue pour le 9 avril et concernera également les finalistes du Département de Bocanda et de Kouassi-Kouassikro.
Solange ARALAMON
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